viernes, 20 de febrero de 2015

Étude: "Retraite Chrètiene" ou (me donner une petit soucette)


- Les douleurs, régime Néo-Zélandais,
  Le tambó et Veracruz, exorcisme.
- Exorcisme, le café du moulin,
  par la juive et le petit, la famille,
  le train, le poisson et la cruci-fiction.
- Le pastor, le réfrigérateaur, père fils
  exquisiteness, l'art, la volonté de l'anglais.
  (fraîchement arrivé du train), la chute de toit
  Au régime priísta et la lait con à sû pot.
- Le lumière, la septième, le trois lignes possibles,
  une dont c'est la triple zéro, l'autre via le sang, et la vie de Mistura.
- Le travail d'un interviewer au septième,
  jeu à l'avion parqué,  la pomme et la petit    pomme.
  Après il serait la poir et la grand poir.
- Pots noirs,  bains, manger aoutur de la    terrasse, les plateaux de lait.
  Fondateur pause-clès, pause-spots,  
  exorcisme, alchimie, yahalom, kinqué, et   l'evocation, barbecue, Miró.
- Le souffle et la vie et la mort, processus cinquième essence, le citron,
  la galle, le fée verte, le crevette, glace, la fée verte, tramadol, le duleur dans la lit et la lumière.
- Objectifs en noir et blanc chimiquement sondage,  le moulin, source d'énergie, par la bouche, par les         dents Budapest, la triade vagabond du sucre.
- Les mu's le langue mort; la mutheka  spaceship, langue et dents, comment faire a dessiné la pâte,  
voyage en   8  et la coopérative, rappeler le boing citron et l'usine.
- Des télécommunications, après la foir, la cigale, et la mante religieuse, russe, l'operations et l'acces des hôtels et les feuilles blancs et noirs, excellent musique electronique, les machines de travail, "maquilando" comunications 09 seulement vous parlez à travers de le magyar.
- Accés au finlandeces et l'enregistement du présidente.
   
Rédaction appel avant TIKAL.

                                                                                          
                                                                                            Miguel Angel Dorantes Cabañas.


jueves, 19 de febrero de 2015

L'Appartement à louer quelque fois.....






L'inmueble était à la rue Miguel Schultz, je ne vais pas dire quelle numero mais c'est très facil de le trouver, c'était un ancian appartement de les annes 50's, il n'y avait pas de parking, l'appartemment se trouvait au quatrième étage sans ascenseur.
La cuisine se trouvait au gauche de l'entrée. Dans l'entrade on trouvait le salon principal, où il y avait une grande table. la quelle on l'utilissait pour faire les materieaux en travaillant de la peinture (on faissait de la peinture).
À gauche il'y avait un comptoir où il y avait des verres et de la vaseille, ça c'etait la vaseille de ma tante,  il y avait un un canapé et un tabouret bleu, et une petit table ronde aoutur de laquelle on pouvait voir l'e stereo et à gauche on trouvait un long comptoir en marmol noir, sous le quel il y avait une grande fenêtre, derrière la quelle il y avait une jolie et grand terrasse.
À gouche de la porte d'entrée, il y avait un petit couloir, quand vous marchait tout droit vous pourrais trouver la cousine et au gauche il 'y avait une salle de bains, cette salle de bain était la salle des visiteurs.
Au bout de la cuisine on trouvait évier, et à droite de l'évier on trouvait la poêle, il y avait un mur entre la poêle et l'évier à droit on trouvait une autre fenêtre plus petit qui donnait sur la terrasse.
En face de l'évier et la poêle il y avait une etagerie fait en bois et verre sous la quelle, il restée la vaseille et de verres de ma tante, si vous continuiez à droite vous pouviez trouver la petit salle à manger, on trouvait un table, et sur la table, on trouvait un ordenateur, des livres et des stylos où on prennait des curses de langues et on prennait le petit dejuner et le dînner, au bout il y avait un autre comptoir fait au mosaïque où il y avait de boutailles de boissons, dans la petit salle a manger il y avait 3 chaises.
Si vous continuiez à gauche vous pouvait trouver une autre terrase.
Il y avait 4 terrases dans cette appartement, dans le grand salon il y avait 4 portes, une conduissait à la chambre que avait une sorti pour le première terrase, la première terrase était connectée avec la salle a manger et il  avait aussi un autre couloir, au bout du couloir on trouvait la deuxième chambre qui avait aussi une salle de bains et un placard, enface de cette chambre on trouvait la troisième chambre, la quelle a seulement un placard et un petiti comptoir.
À coté de cette chambre a droite on pouvait trouver la salle de bain principale, dans la grand salle a droite vous pouviez trouver la salle de lecture et la chimené, en continuant tout droit vous pouviez voir la sortie à l'áutre terrase, la quatrième terrasse, dans la quelle on pouvait voir comment dans la première le cinéma ópera et un cour au fond de l'inmmueble (jusqu'un bas).

Miguel Angel Dorantes Cabañas.


martes, 17 de febrero de 2015

MYOSOTIS - VOACABULAIRE JEAN COCTEAU


...Pipe au cœur de cendre si tendre
Qu'il plonge en ton champagne amer 
Mer matinale aux pieds d'eponge,
Un souvenir de Saint-Omer.

Un matelot coupe un orage:
C'est la mer rouge. Le rideau 
Fait l'autre matelot un ange
Ayant ses voiles dans le dos.

Qu'il entre, Marie, et qu'il parte
Jouer ailleurs son seul atout:
Il y a mis de bleu sur les cartes,
Et son col de l'ancre partout...



lunes, 16 de febrero de 2015

Extrait Querelle de Brest - Jean Genet



"Vaguement il était reconnaissant à Norbert de le protéger en le couvrant. Une légère tendresse lui venait pour son bourreau. Il tourna un peu la tête, espérant pourtant, malgré son anxiété, que Norbert l'embrasserait sur la bouche, mais il ne put réussir à voir le visage du patron, qui, n'éprouvant aucune tendresse à son égard, n'imaginait même pas qu'un homme en embrassât un autre. Silencieusement, la bouche entr'ouverte, Norbert besognait comme à une œuvre importante et grave. Il serrait Querelle avec la même passion apparente qu'une femelle d'animal tient le cadavre de son petit, – attitude par quoi nous comprenons ce qu'est l'amour : conscience de la séparation d'un seul, conscience d'être divisé, et que votre vous-même vous contemple. Les deux hommes n'entendaient que leurs deux souffles."

domingo, 15 de febrero de 2015

L’HOMME CONTRE LE DESTIN.


J’ai parlé hier soir du surréalisme et la révolution.

J’aurais du dire: la révolution contre le surréalisme, le surrealisme contre la révolution.
J’ai ensayé de définir de quel dégoût profond, de quelle angoisse vitale et qui parvenait mal à s’orienter, le surréalisme français est né.

Pour moi, à le considerér dans son essence, le surréalisme a été une revindication de la vie contre tutes ses caricatures, et la révolution inventée par  Marx est une caricature de la vie.
J’ai estimé que cette faim d’un vie pure, que le surréalisme  au début a été, n’avait rien à voir avec la fragmentere du marxisme. Fragmentaire, mais valable provisoirement. Mais répondant à un vrais mouvement de l’histoire. Et j’ai dit que Marx, un de premiers, a vécu et senti l’histoire. Mais il y a un monde de mouvements dans l’histoire. Et si l’état d’esprit surréaliste est un état d’esprit dépassé par leur faits, le mouvement historique du marxisme est, lui aussi dépassé par les faits.

Et voici à ces sujet le dernier état de notre pensée: la pensé de la jeunesse française et la pensée des intellectuells évillés.

Le matérialisme historique et dialectique est une invention de la consciente européenne. Entre le vrai mouvement de l’histoire et le marxisme il y a une espèce de dialectique humaine qui ne concorde pas avec les faits.
Et nous pensons que depuis quatre cents ans la consiente européene vit ur une inmmense errerur de fait.

Ce fait est la conception rationaliste du mond qui, dans son application à notre vie de Tous les tours dans le monde, donne ce que j’appellerai la conscience séparée.
Vous allez tout de suit comprendre ce que je veux dire.
Vous avez Tous qu’on ne peut pas saisir la pensée-
Nous avons pour penser des images, nous avons des mots pour ces images, nous avons de représentations d’objects. On sépare la consciente en états de consciente. Mais ce n’est qu’une façon de parler. Tout cela ne vaut en réalité que pour nous permettre de penser. Pour regarder notre consciente , nous sommes obligés de la diviser, sinon cette faculté rationelle qui nous permet de voir nos pensées ne pourrait jamais s’exercer. Mais en rálité la consciente est un bloc, ce que le philosophe Bergson appelle de la durée pure . Il n’y a pas d’arrêt Dans la pensée. Ce que nous mettons devant nous pour que la raison de l’esprit le regarde, en réalité, est déjà passé; et la raison ne tient plus qu’une forme, plus ou Moniz vide de vrais pensée.

Ce que la raison de l’esprit regarde, on peut dire que c’est toujurs de la mort. La raison, faculté européene, exaltée démesurément par la mentalité européene, est toujurs un simulacre de mort. L’histoire, qui eregistre des faits, st un simulacre de raison morte.
Karl Marx a lutté contre le simulacre de faits, il y aessayé de sentir la pensée de l’histoire dans son dnamisme particulier. Mais i lest resté, lui aussi, sur un fait; le fait capitaliste, le fait bourgeois, l’engorgement de la machine, l’ashyxie de l’économie de l’époque due à un abus monstreux de l’usage de la machine. De ce fait vrai est sortie, elle aussi, dans l’histoire, une mensongère idéologie.

La jeunesse français d’aujourd’hui, qui ne supporte pas la raison morte, ne veut plus se payer d’idéologies.

Elle considère l’explication matérialiste de l’histoire comme une idéologie, qui risque d’arrêter l’histoire. Et quand elle relit le manifieste du parti communist de Marx, elle s’aperçoit que ce que l’on appelle le marxisme est á son tour une idéologie mensongère qui caricature la pensée de Marx.

Marx est parti d’in fait, mais il s’est interdir toute métaphysique. Et elle, cette jeunesse, considère que l’explication matérialiste du monde est une fausse métaphysique. En face de la fausse méthaphysique issue du matérialisme de Marx, elle reclame une métaphysique totale qui la réconcilie avec la vie d’aujourd’hui.

Elle accuse Dans le matérialisme historique la naissance d’une idolatrie, est religieuse, relíguese parce qu’elle introduit une mystique dans l’esprit. La jeunesse frnaçaise ne veut pas de mystique, elle est pour qu’on cesse d’halluciner l’esprit; elle a faim d’une vérité humaine, et humaine sans tromperie.

Elle sent la vie, cette jeunesse, et nous srntons la vie comme une soeule chose, une chose qui n’admet pas de théorie. Invoquer aoujurd’hui la métaphysique, ce n’est pas séparer la vie d’avec un monde qui la dépasse, c’est faire rentrer, Dans la notion économique du monde, tout ce que l’on a voulu ratirer du monde, et le faire rentrer sans halluncination.
Pour la jeunesse, c’est la raison qui a inventé le désespoir contemporain, et l’anarchie matérielle du monde, en séparant les éléments d’un monde qu’une vraie culture réunissait.
Si nous avons une fausse idée du destiin , et de sa marche dans la nature, sentir la vie Dans sa totalité.

L’antiquité ne connaissait pas le hasard et la fatalité est une idée grecque dont la grossière raisson latine a encore accusé l’opacité.
Pour se guérir du hasard le monde réputé païen avait la connaissance. Mais quand on invoque la connaissanc, combien Dans le monde moderne pourraient encore dire ce que c’est.

Il y a un déterminisme secret basé sur les lois supérieures du monde; mais au milleu d’une science mécanisée et qui s’embarrasse Dans ses microscopes, parler des lois supérieures du monde, c’est soulever la risée d’un monde où la vie n’est plus qu’un musée.
Quand on parle aoujurd’hui de culture, les gouvernements pensent à ouvrir des école, à faire marcher les presses à livres, couler l’encre d’imprimerie, alors que pour faire mûrir la culture, il faudrait Ferrer les écoles, brûler les musées, détruire les livres, brisser les rotatives des imprimeries.

Etre cultivé, c’est manger son destin, se l’assililer par la connaissance. C’est savoir que les livres mentent quand ils parlent de dieu, de la nature, de l’homme, de la mort et du destin.
Dieu, la nature, l’homme, la viem la mort et le destin ne sont que des formes que la vie rend lorsque la pensée de la raison la regarde. Hors de la raison il n’y a pas de destin; et c’est là une haute idée de culture, à yupi l’Europe a echártele la nature avec ses sciences séàrés.
Biologie, histoire naturelle, chimie, ohysiquem psychiatrie, neurologie, physiologiem toutes ces germinations monstreuses qui font l’orgueil des Universités, comme la géomancie, la chitologie, la physiognomonie, la psychurgie, et la théugie font l’orgueil des quelques individualités séparés, ne sont pur les espirits éclairés qu’une perte de conaissance.
L’antiquité avait ses dédals, mais elle ne conanaisssait pas le dédale de la science séparé.
Il y a dans l’esprit un mouvement secret qui divise la conaissance et présente à la raison égarée les images de la science comme autant de réalités.

Satan, disentí les anciens livres de Mages, est une image qui se fait. A force d’invoquer le Mal, les magiciens Noris l’inventent et l’on peut dire qu’ils le créent.
De-,ême la Raison divisée invente les images de la science que l’on enseigne Dans les Universités.

Ce mouvement est une chose diolatre: l’esprit croit à ce qu’il a regardé.
Et regarder la vie dans un microscope, c’est regarder un paisaje par le petit bout de la réalité.

La jeunesse française est contre la raison parce qu’elle l’accuse de lui masquer la science. Elle est contre la science qui a pétrifié la raison.

Elle considère, cette jeunesse, que l’Europe, s’est trompé de route, et elle pense qu c’est sciemment et on peut dire criminallement que l’Europe s’est trompée de route. Elle acusse à l’origine de cette funeste orientation de l’Europe le matérialisme cartésien.
Elle reproche à la Renaissance, qui prétendait glorifier l’homme, d’avoir ranaisée ñ’idée de l’homme par une fausse interprétation des Anciens.
Elle sait que l’Histoire s’est trompée quand elle parle du paganisme et que le pagnisme n’est pas ce que les livres l’ont fait.

C’est l’Europe qui a inventé l’idolâtrie des païens parce que la forma de l’esprit de l’Esurope est une forme d’esprit idolâtre; et diolatrie, comme je le dissais tout à l’heure, c’est justement la séparation de l’idée d’avec la forme, quand l’esprit croit à ce qu’il a rêvé . Les Anciens, qui croyaient à leurs rêves, croyaient à la valeur de sgnification de leur rêves, ils ne croyaient pas aux formes rêvées. Derrière leurs rêves et par échelons, les Anciens pressentaient des forces et ils plongeagient au milleu de ces forces. Ils avaient un sentiment fulgurant de la présence de ces forces, et ils cherchaient Dans leurs organisme entrier, au besoin par un vrai vertige, le moyen de demeurer en contact avec la fuite de ces forces. Une tête d’Européen d’aujord’hui est une cave où bougent des simulacres sans forces, que l’Europe prend pour ses pensées.

Mais c’est aller rechercher trop loin la critique d’une pensée morte. Ce que le paganisme a divinsé, l’Europe, elle, l’a mecanisé.

Nous sommes contre cette rationalisation de l’existance qui nous empêche de nous penser, c’est-à-die de nous sentir hommes, et il existe Dans notre idée de l’homme une idée de la force pensée. Et de la conaissance dialectique et techinque de la force pensée.
Tout ce que la science nous a pris, qu’elle sectionne Dans ses cornues, ses microscopes, ses balances, ses mècaniques compliqués, tout ce qu’elle fait passer Dans ses chiffres, nous aspirons à le reprendre à la science qui ètouffe notre vitalité.

Quelque chose veut surtir de nous qui n’es pas justicable de l’expérience. Et nous sommes m¡nombreux à remeter les enseignement de l’experienc. Nous ne croyons  pas à la valeur de l’expérience. Et a la preuve par l’experience. Il faudrait d’abord nous faire croare aux fantômes de la raison et des formes par lesquels l’experience cherche à atteindre notre pensée-
Toutes les formes de l’experience dissimulent la réalité.

Quand Pateur nous dit qu’il n'y a pas de germination spontanée et ue la vie ne peut pas naître Dans la vide, nous pensons que Pasteur s’est trompé sur l’idée réele du vide  et qu’une nouvelles expérience va montrer que la vide de Pateur n’est pas le vide; et cette expérience est réalisée.

Pour nous, l’histoire est un panorama, et c’est dans le temps que nous jugeons l’histoire., car nous sommes des gens cultivés. Ici, des gens qui mangeaient aussi des ommes de terre ont une morale d’aventuriers, mais au même endroit d’autres gens, qu.i mangeaient des pommes de terre, avaient cinq cents ans en arriére une morale de degeneres.
Ce n’est pas par des expériences que nous jugeons la réañité. Car tout cela ne nous montre pas l’Homme.

La préocupation des fonctions extérieures de l’Homme déturne d’une cannaissance profonde de l’Homm, Et il y a un monde Dans la pensée. La ré volution communiste ignore le monde intérieur de la pensée. Mais elle s’ocuppe de la pensèe, elle s’en occuoe par l’expérience, c’est-à-dire par le dehors de faits.

Elle prend des fous, et leur greffe des maladies bizarres pour voir ce qui peut en résulter, elle leur injecte des virus de plantes, comme l’homme en eux va tourner. Au besoin, faisant en cela une caricature du Totémisme, elle rechercherait experimentalmente le pasaje entre l’Humabnitè et la bête, entre la bête et la forêt,
On n’oublions pas que le matérialisme de Lénine, qui s’appelle aussi dialectique, prétend avoir avancé sur le dialectique de Hegel.

Là où la dialectique de Hegel retrouve en trois termes la formce intérieure de la ensèe, celle de Lènine, qui s’aèlle aussi dialectique, pretènd avoir avancè sur la dialectique de Hegel.
Là où la dialectique de Hegel retrouve en trois termes la force intérieure de la pensé, celle de Lènine réunit les termes, et nous parle du dynamisme de la pnséem qu’elle ne sépare plus des faits.

Il y a Dans la vie trois forcesm comme le montre une vielle science connue de toute antiquité:

Le force répulsice er dilatante.

La force compressive et astringente.

La force rotatoire,

Le mouvmement qui va du dehors au-dedans et qu’on appeññe centripète correspond à la force astringente , tandis que celui qui va du dedans au dehors et qu’on appelle cetrifuge correspond à la force dilatante et répulsive.

Comme la vie, comme la nature, la pensée va du dedans au dehors avanti d’aller du dehors au dedans, Je commence à penser dans le vide, et du vide je vais vers le plein; et lorsque k’ai atteint le plei, je peux retomber dans la vide. Je vais de l’abstrait au concret et non deu concret ver l’abstrait.

Arrêter la pensée dehors et l’étudier dans ce qu’elle peut faire, c’est méconnître la nature interne et dynamique de la pensée. C’est ne pas vouloir sentir la pensée dans le mouvement de son destin interner qu’aucune experiénce ne peut capter.

J’apelle poésie aujourd’hui connaissance de ce destin interne et dynamiqye de la pensée.
Pourretrouver san ature profonde, por se sentir vivre dans sa pensée, la vie repousse l’esprit d’analyse où l’Europe s’est égarée.

La conaissance poétique est interne, la qualité poétique est interne. Il y a un mouvement aujurd’hui pour identifier la poésie des poètes avec la force magiue interne qui fournit un chemin à la vie, et permet d’agir sur la vie.

Que la pensée soit ou non une sécrétion de la matière, je ne m’attarderai pas ‘a dicuter sur ce fait. Mais je dirai simplemente que le matérialisme de Lénine a ñ’air d’ignorer en fait cette poétique de la pensée.

Il y a ds plantes pour les maladies et les maladies ont le couleur de la plante, et il Gerrit la maladie, C’est l’origine de la mèdicine spagirique d’ou est sortie l'homeopathie.
Il y a des cris por les passions, et dans les cris de chaque passin de degrés de la vibration de passions; et le monde dans d’autres temps a Cornu une harmonique des passions. Mais chaque maladie aussi a son cri et la forma de son râle: il y a le cri du pestifèrè dans la rue quand il court avec l’esprot ivre d’images , et le râle particuliere du pestifeèrè à l¡afgonie. Et le tremblement de terre a son bruit. Mais l’air vibre particuièrement quand on dit qu’une épidémie passe. Et d’une maladie à une passion, d’ine passion à un tremblement de terre, on peut établir des ressemblances et d’étranges harmonies de bruit.

Or le déterminisme des faits n’est pas séparé d’une apparamce vivant. Pas d’événement de l’histire qui ne soit mêlé à  une couleur ou à un bruit.

Des époques qui ont eu du génie ont pensé, par la couleur ou le bruit, en relation avec le rythme des râles et le tremblement des épidémies, avec le bruitque fait une plante qui ressemble à des mañadies, avec une combinación d’expressions, ave les modulations d’un sanglot où se peint toute la torture humaine echártelee àr ñe destin, à retrouver le mouvement de l’histoire, à remonter le tours du destin,
Les jeux anticues étainent basés sur cette connaissance qui, par l’action, dompte le destin. Le tkéatre ancien tout entrier était une guerre contre le destin,
Mais, pour dompter le destin, il faut connaître la nature compléte, et, dans l’homme, la consciente compléte, mise au rythme des événements.
Nus avons l’idée d’une culture unitaire et nous appelons cette culture unitare afin de retrouver une idée d’unité dans toutes les manifestations de la nature que l’homme rythme de sa pensée.

Les trois cent Quatre-vingts points de la médicine chinoise, qui régissent toute les fonctions humaines, font de l’homme ce bloc d’unité, comme la guèrison universelle de Paracelse élève la consciente humaine sur le plan d’une divine pensée.

Qui prétend maintenant qu’il y aplusieurs cultures au Mexique: l a culture des Mayas, celle de Toltèques, des Aztèques, des Chichimèques, des Zapotèques, des Totonaques, des Tarasques, des Otomis, etc., ignore ce qu’esr la culture, il confond la mulutiplicitè des formes avec la synthèse d’une idée.

Il ya l’ésotérisme musulman et il y a l’ésotèrisme brahamanique; il y a la Genèse occulte, l’ésotérisme juif du Zohar, et du Sepher-Ietzirah, et il y a ici au Mexique le Chilam Blam et le Popol-Vuh.

Qui ne voit que Tous ces ésotérismes sont les mêmes, et veulent en esprit dire la même chose. Ils indiquent une même idée géométrique, numérale, organique,, harmonieuse, occulte, qui réconcilie l’homme avec la nature et avec la vie. Les signes de ces ésotérismes sont identiques. Ils possèdent des analogies profondes entre leurs paroles, leurs gestes et leur cris.

De Tous les ésotérismes qui soient, l’ésotérisme mexicain est le dernier qui s’appuie sur le sang et la magnificence d’une terre dont seuls des imitateurs fantasiès de l’Europe peuvent encore ignorer la magic.

Je suis pour qu’on fasse surtir la magic occulte d’une terre sans ressemblance avec le monde égoîste qui s’ostine à marcher sur elle, et ne voit pas l’ombre qui tombe sur lu
                                      

México. Jeudi 27 fèvrier 1936.


ARTAUD. A. Les Tarahumaras (1955) Récupére de: Trois Conférences a l’universite de México. Marc Barbezatm L’ARBALÈTE 

viernes, 13 de febrero de 2015








La critique de "Eastern Boys" par Télérama

Posté le lundi 26 janvier 2015








Pour chaque long-métrage en compétition deMyFrenchFilmFestival , retrouvez la critique de notre partenaraire Télérama.
La critique du jour :
 
Eastern Boys
Drame réalisé en 2013 par Robin Campillo
Avec Olivier RabourdinKirill EmelyanovDanil Vorobyev...
Date de sortie en France : 02 avril 2014
Notation: 5/5
LE SYNOPSIS
A la Gare du Nord de Paris, Daniel, un quinquagénaire discret, repère Marek, un jeune homme venu de l'Est qui traîne avec sa bande et semble se prostituer. Un jour, Daniel décide d’approcher le garçon. Tous deux conviennent de se retrouver le jour suivant au domicile de Daniel. Mais lorsque celui-ci ouvre sa porte d'appartement le lendemain, il ne peut imaginer dans quel piège il est tombé. Sans pouvoir se défendre, Daniel se fait en effet dévaliser par toute la bande de jeunes qui n'hésite pas à le malmener. Pourtant, quelques jours plus tard, Marek revient chez Daniel. Entamant une relation rémunérée, ils se rapprochent bientôt pour tenter une nouvelle vie…

LA CRITIQUE
Une drague, gare du Nord : Daniel, un homme plus tout jeune, soudain ébloui par le visage d'un adolescent, lui fixe rendez-vous, chez lui, le lendemain... Ainsi commence ce film original, ambitieux, constamment sur le fil de l'inattendu et de l'ambiguïté. Rien n'y est prévisible, tout semble s'y dérober sans cesse. Se métamorphoser. A commencer par la sexualité, presque crue, d'abord, entre les deux hommes, qui se mue peu à peu en affection. En attachement. En éducation sentimentale. Et c'est cet amour imprévu et incongru qui poussera, plus tard, Daniel à dépasser sa médiocrité. A se transfigurer, si l'on ose dire, pour s'en aller, au péril de sa vie, sauver cet amant, devenu bien plus qu'un objet de désir.
Deux moments superbes, où le temps semble s'étirer à l'infini, soutiennent le film, comme deux piliers. Dans le premier, Daniel attend celui qu'il a dragué la veille. Mais c'est un gamin nettement plus jeune qui sonne à sa porte. Trois autres ados s'introduisent à sa suite. D'autres encore, et parmi eux le « boss », un peu plus âgé, un petit mec à la redresse, inquiétant et suave, visiblement le patron de ce petit gang d'eastern boys venus de Russie et d'Ukraine. Ils s'éparpillent dans l'appartement, repèrent les objets de valeur, vident le frigo, s'emparent de l'ordinateur. Ils mettent de la musique, ils dansent, ils versent de l'alcool dans des verres, en offrent même à leur hôte : ce sont les mendiants buñueliens envahissant un monde qui les exclut. Et contre toute attente, Daniel participe à la farandole grotesque. Il accepte cette fête dont il est l'otage : il bouge, il se déhanche, il boit. Tout autour de lui, comme dans un rêve, passent des objets familiers, sa télé, ses peintures, son lustre, et même le grand miroir du salon ; le gang les emporte. Au coeur des stridences et de sa transe, il croise le regard du beau jeune homme qui l'a trahi. Mais c'est la voix du boss qu'il entend : « C'est toi qui es venu nous chercher à la gare. C'est toi qui nous as dit de venir. »
L'autre grand moment, aussi long, aussi intense, joue sur des rapports de force inversés : humilié chez lui, Daniel pénètre dans l'hôtel bizarre où le gang retient son jeune amant. Le film vire au polar, avec rapides travellings dans les couloirs et sensation d'un danger qui menace, telle une bombe à retar­dement. Daniel le bien nommé semble alors y lutter avec des lions modernes. Et, comme dans un conte de jadis, il ­affronte, une à une, des épreuves qui le font progresser vers son bien-aimé. Afin de le délivrer des sortilèges et le ­ramener, enfin, à la lumière.
Ces deux (longs) passages sont magnifiques, mais le film de Robin Campillo (on lui doit Les Revenants, qui a ­inspiré la série télé à succès) reste, tout du long, excitant. Et dérangeant. Parce que le réalisateur semble autant détester la mièvrerie que les bons sentiments. Aucun de ses personnages n'attire vraiment la connivence. Daniel (remarquablement interprété par Olivier Rabourdin), même s'il progresse vers sa vérité, reste jusqu'au bout complexe et énigmatique : est-il bon, est-il méchant ?, se demande-t-on tout le temps... Le jeune Ukrainien (Kirill Emelyanov, impeccable) est, évidemment, une victime, mais aussi un cal­culateur qui accepte de se servir de sa seule arme — son corps — pour survivre : entre ces deux hommes, les rapports de force se modifient mais ne s'effacent pas. Le plus fascinant de tous reste le boss (Danil Vorobyev, superbe). Flanqué de sa petite cour des Miracles — et surtout de ce gamin qui s'accroche à ses épaules comme un petit singe —, il ressemble à un héros de roman picaresque, un dieu venimeux, tout-puissant en apparence mais fragile dès lors que sa jeunesse et sa force qui fondent son pouvoir le fuient, déjà...
Sur cette France des miséreux qui errent sans but dans les gares, sur l'homosexualité, la paternité, sur la solitude, aussi, et les liens qui se tissent, néanmoins, entre les êtres,Robin Campillo pose un regard aiguisé. Lyrique. Romanesque, au sens stendhalien du terme : un film-miroir que l'on promènerait le long d'un chemin.
Critique rédigée par Pierre Murat pour Télérama.
© Télérama

▶ Conférence d'Anne Emmanuelle Berger (16 novembre 2013) - Vidéo Dailymotion

▶ Conférence d'Anne Emmanuelle Berger (16 novembre 2013) - Vidéo Dailymotion