martes, 26 de enero de 2016

Huitzilopochtli

 
Il etait une fois un temple avec 6 ou 7 personnes, je ne me souviens pas, il eu un assenseur seulement, où il est possible de perdre le camion dans la reflexión, et on doit aller au bout et pour moment au dessus...



J'ai pu perdú la tête, j'ai pensé courir pour aller le chercher je pourrais obtenir c'est miroir autrefois, c'est miroir qui m'a fait sentir securité, et me fait penser que je ne l'ai pas cesser d'exister...



Il est cette étincelle dans vos yeux qui me rapellent les couchers du soleil rouges, intenses, qui portaient mon souffle ( ne sais pas oú) et qui voler dans la nuit votre douce baisers...





Et en parlent en rouge...





Tezontle -  Rojo  - Rojas


N'oublies pas s'il vous plaît, du sud apporter du miel



Dans Tezontle je me retrouve vivre pendent un certain temps, assis, je penche pour pouvoir entrer dans c'est temple, sur les rives de la rivière, même si je suis loin des les possibilités qui se trouvent dans les penseés que je garde, et qu'ils te ramenerai...



-Essence amère ou Tezontle-

Si vous ne connaissaez pas les âromas ou colorants, les legumes et des fruits.

Certains sont plus gros que les autres

I M et M I

Des aromes et des couleurs se sont effacé tout à coup:

1985 tombe dans la poussière du plafond, le PRI, et ensuite, nous savons qu'il y a beaucoup de poussière, les formules chimiques, chlore dans piscines, des avortements et des morts dans la riviére, au-delà du vert malades de l'eau de toute la peur, l'histoire 68 le puit d'evacuation, et tut Tlatelolco.



Sur essences après sentiment, est le gaz spirituelle la plus éthérée, qui peut être offert, l'essence du souffle acte sur le matière pour obtenir des résultats par des révélation profondes.


Naranssarga




- Fleur - d l'eau - du teé -




Offre un répit

Je vous offre le souffle


sábado, 15 de agosto de 2015

LES PAPILLONS - GÉRARD DE NERVAL











                  I


De tout les belles choses
Qui nous manquent en hiver,
Qu'aimes-voux mieux? - Moi, les roses;
-Moi, l'aspect d'un beau pré vert
-Moi, la moisson blondissante,
Cheveleur des sillons;
-Moi, le rossignol qui chante;
-Et moi, les beaux papillons!

Le papillon, fleur sans tige,
          Qui voltige,
Que l'on cueille en un réseau;
Dans la nature infinte,
          Harmonie
Entre le plante et l'oiseau!...

Quand revient l'été superbre,
Je m'en vais au bois tout seul :
Je m'entends dans la grande herbe,
Perdu dans ce vert linceul.
Sur ma tête renverée,
Là, chacun d'eux à son tour, 
Passe comment une penseé 
De poésie ou d'amour!
Voici le papillon faune 
            Noir et jaune;

Voici les mars azuré,
Agitant des étincelles
           Sur ses ailes
D'un veleurs riche er moiré.

Voici le vulcain rapide,
Qui vole comme un oisseau :
Son aile noire et splendide 
Porte un grand ruban ponceau.
Dieux! le soufré, dans l'espace,
Comme un éclair a relui...
Mais le joyeux nacré passe, 
Et je ne vois plus que lui!


                 II


Comme un éventail de soie,
            Il déploie
Son manteau semé d'argent;
Et sa robe bigarrée
        Est dorée
D'un or verdâtre et changeant.

Voici le machaon-zèbre,
De fauve et de noir rayé;
Le deuil, en habit funèbre,
Et le miroir bleu stiré;
Voici l'argus, feuille-morte,
Le morio, le grand-bleu,
Et le paon-de-jour qui porte
Sur chaque aile un œil de feu!

Mais le soir brunit nos plaines;
                     Les phalènes
Prennent leur essor bruyant,
Et les sphinx aux couleurs sombres, 
                     Dans les ombres
Voltigent en tournoyant. 

C'est le grand'paon à l'œil rose
Dessiné sur un fond gris
Qui ne vole, qu'à nouit close, 
Comme les chauves-souris;
Le bombice du tröene,
Rayé de jaune et de vert,
Et le papillon du chêne
Qui ne meurt pas en hiver!...

Voici le sphinx à la tête
                 De squelette.
Peinte en blanc sur un fond noir,
Que le villageois redoutte, 
                Sur sa route,
De voir voltiger le soir.

Je hais aussi les phatènes,
Sombres hôtes de la nouit,
Qui voltigent dans nos plaines
De sept heures à minuit;
Mais vous, papillons que j'aime, 
Legèrs papillons de jour,
Tout en vous est un emblème
De poésie et d'amour!


                      III


Malheur, papillons que j'aime,
                    Doux emblème,
A vous pour votre beauté!...
Un doigt, de votre corsage,
                     Au passage,
Foisse, hélas! le velouté!...

Une tout jeune fille
Au cœur tendre, au doux aouris,
Perçant vos cœurs d'une aiguille,
Vous contemple, l'œil surpris : 
Et vos pattes sont coupées
Par l'ongle blanc qui les mord,
Et vos antennes crispées
Dans les douleurs de la mort!...





 

jueves, 6 de agosto de 2015

Clinique 27







Au métro j'avais le sac couleur vert,
où c'etait le styló que tu m'a donné
chassures, la cravatte, et les fruits des mer,
complexé c'etait les temps au paseé,
le jour que de l'or j'en commence parler.

Patient j'atandais à la clinique,
c'est quand le soleil a comence sortir,
c'etait un lieu que je ne peux pas mis,
j'ecrivais pendent tout la nouit des mots oranges,
que tu n'avais pas jamais compris
J'ai bú tout le vin, et j'ai mangé de le fromage,
c'etait un chose completèment chaotique.

C'etait misterieux la nouvaux maison,
des lunettes noires, et de la robe perdu,
je cachais les choses au fabrique sans raison.
quand je travaille la ligne  jaune comment si j'etais fou.

-stabilo styló-




viernes, 8 de mayo de 2015

CoxCox








Alternant soutien économique qui coexiste généreusement fait, en augmentant et dystopies innombrables vérités terribles qui nous exaltenet, empiéter plus en plus dans des postes secondaires de la pensée, pensant que forme une chaîne de vérités, réalités, assertions malignes, plutôt, de ce que je peux corroborer l'existence d'un langage intime, je vous écris en référance aux innombrables situations de danger...

De désaccord et de possibles manifestations sporadiques, réalités communes, même jour et la nuit, mon étendre plus profane, lettres existantes:



 -je ne me souviens pas-




Alors il m'a dit, je pleurais, COXCOX, ne pas échapper à la vérité, ils sont des réalités communes, c'est seulement la continuité entre les possibilités adjacente faim et la mort.

jueves, 9 de abril de 2015

C:


C:

Tout part d’une maison, Head Start, Confirment tout Conteaison, l’adhesión CommenCe par le propre existenCe, réaffirmant toute assertion alternatif, disCerner le fait, sur tout la ConssienCe, rester tranquil enraCiné a une methode, pas du tout, il y’ a préliminaires, Confinement, fixation, distinCtion et valorisation, immergé sur la pensée, Dans un tout Complexe nous ComenÇons, un grand regard Complexe, en Conséquence disCerner et distinguer entre la vérité et le mensonge, l’éCrit prévaut épuisé à la pensée fugaCe, être, devenir, reafirmée et distinguer…

Définir Comment suppléant émerger en permanenCe et loin entre la réforme forme et struCture parlent et éCrivent CorreCtement réagissent à la pleine et Complexe, du début à la fin,
Les différentes  posibilités pensées exaltées à empiéter Cotes soudainement sans fin. C'est la formation Constant de l'imagination Collectif, il est la Conception des phrases de pensée exaltés qui évoquent la Continuité, affirmant et attendre,

DonC je regrette profondément la présente Constante où l'on peut trouver la séCurité initial par les institutions, il est selon vous le temps, l'enterprise est pas rapidement revenir à manger de la substanCe qui augmente par le papier de l'audaCe et de perspiCaCité intensive, enCore loin d'une position de Centre, du Centre-ville Conditionelle agitation Calme, lors de la rédaCtion des dispositons de synthèse et établir un langage profond loin de vérités ou des mensonages en soi-même, je tiens à rester dans le Centre à l'origine.